Notre musique
Bélya puise son inspiration première dans la riche tradition Bèlè du pays Martinique (culture matrice dont les chants, les danses et les rythmes viennent d’Afrique).
Bélya produit l’album Djenm en 2010. Le groupe
est allé partager ses « utopies » en Guadeloupe,
à Trinidad, en Floride, à Paris (Cabaret Sauvage,
New Morning), au Dakar Jazz Festival, à Kyoto
(Japon). En 2015 Il reçoit un prix SACEM. En
2018, lors de son concert anniversaire il partage
la scène avec Jocelyne Béroard du groupe
kassav. Le batteur, concourt à l’harmonie de cet ensemble rythmique. Le style inventif du pianiste, le groove syncopé de la basse et les accents mi blues mi rock de la guitare et du saxophoniste ajoutent à l’émotion ! Et puis ces femmes, aux voix puissantes et douces à la fois.
Bélya, c’est également la danse ! En duo, en solo ; savant dosage entre ces pas séculaires (nika, grajé) et la fougue moderne des chorégraphies des quartiers de Fortde-France. !
Enracinés certes ; et ouverts à tous les souffles du monde ; ces musiciens, nourris de zouk de gospel de jazz et de musique de carnaval, chantent l’histoire d’un peuple ; ses espoirs, ses amours, ses soubresauts, et surtout ses utopies toujours fondatrices !
Our music
Bélya draws its primary inspiration from the rich Bèlè tradition of Martinique (a cultural matrix
whose songs, dances and rhythms originated in Africa).
Bélya released the album “Djenm” in 2010. The band went to share its “utopias” in Guadeloupe,
in Trinidad, Florida, in Paris (Cabaret Sauvage, New Morning), at the Dakar Jazz Festival, in Kyoto
(Japan). In 2015 the band was awarded a SACEM prize. In 2018, during bélya celebrated its
anniversary concert by sharing the stage with Jocelyne Béroard from the band Kassav. There was
such a chemistry between these soft and powerful voices of women, the traditional drums, the
subtlety of the drummer, the groove of the pianist and the syncopated playing of the bassist.
Bélya is also dance! As a duo or solo; it's a clever mix between these centuries-old dance steps (nika, grajé) and the modern enthusiasm of the choreographies of the Fort-de-France neighborhoods.
Certainly, rooted and open to “all the breaths of the world”; these musicians, nourished by gospel
music, zouk, jazz and carnival music, sing the story of a people; its hopes, its loves, its convulsions,
and above all its ever-founding utopias!
Our Culture
The Martinican group Bélya, draws its first
inspiration from the rich Bèlè tradition of the country (matrix music whose songs, dances and rhythms come from Africa).
The scenic layout of Bélya evokes “the Wondi” (circle in Creole, essential in Martinican culture). The musicians are in a semi-circle, open to the public, the latter closing the circle.
The "root" instruments are there:
The astonishing and unique "Tanboubèlè", a drum which is played horizontally whose Energy irrigates the body and soul of the tanbouyé (drum player); the Tanboupak: (small high-pitched drum played with a stick); The doumpak, the latter consisting of the bass drum marking the rhythm in the "Bandlari" carnival groups has been adapted for the stage; The Bwapitak: (one-meter wooden instrument that is played with two sticks).
The drummer, playing in a refined manner contributes to the harmony of this rhythmic ensemble whose breaks and improvisations lead to trance.
The swing of the pianist and the syncopated groove of the bass add to the emotion!
And then these women! whose powerful yet gentle voices lead us into this "world where men's and women's hair have all the colors".
Serene and enriched by his experiences, Bélya produced the album Djenm 2010. The group went to share its "utopias" in Guadeloupe, Trinidad, Florida, Paris (Cabaret Sauvage, New Morning), the Dakar Jazz Festival, Kyoto (Japan). In 2015 he received a SACEM prize. In 2018, during its anniversary concert, he shared the stage with Jocelyne Béroard from the group kassav.
Rooted certainly; and open to all the breaths of the world, these musicians, nourished by bélé, Gospel; zouk, jazz and carnival music, sing the story of a people; its hopes, its loves, its convulsions, its disillusions, and its ever-founding utopias.
Convinced that music is a bulwark against malaise and globalization, Bélya invites us on a journey to the plural sources of Madinina's tradition.
Notre culture
Espace et son demeurent intimement liés dans la symbolique du groupe Martiniquais Bélya qui puise son inspiration première dans la riche tradition Bèlè du pays (musique matrice dont les chants, les danses et les rythmes viennent d’Afrique). La disposition scènique de Bélya évoque « le Wondi » (cercle en créole, essentiel dans la culture martiniquaise). Les musiciens sont en demi-cercle, ouverts au public, ce dernier fermant le cercle.
Les instruments « racines « sont là :
L’étonnant et unique « Tanboubèlè », qui se joue couché dont l’Energie irrigue en remontant ; le corps et l’âme du tanbouyé (joueur de tambour) ; le Tanboupak : (petit tambour aigu joué avec une baguette) ; Le doumpak, ce dernier constitué du tambour basse marquant le rythme dans les « Bandlari » groupes de carnaval a été adapté pour la scène ; Le Bwapitak : (instrument en bois d’un mètre qui se joue avec deux baguettes).
Le batteur, au jeu subtil concourt à l’harmonie de cet ensemble rythmique dont les breaks et les impros conduisent à la transe. Le swing du pianiste, le groove syncopé de la basse ajoutent à l’émotion !
Et puis ces femmes ! dont les voix puissantes et douces à la fois nous entrainent dans ce « monde où les cheveux des hommes et des femmes ont toutes les couleurs ».
Serein et enrichi de ses expériences, il produit l’album Djenm 2010. Bélya est allé partager ses « utopies » en Guadeloupe, à Trinidad, en Floride, à paris (Cabaret Sauvage, New Morning), au Dakar Jazz Festival, à Kyoto (Japon). En 2015 Il reçoit un prix SACEM. En 2018, lors de son concert anniversaire il partage la scène avec Jocelyne Béroard du groupe kassav.
Enracinés certes ; et ouverts à tous les souffles du
monde, ces musiciens, nourris de bélé de zouk de jazz
et de musique de carnaval chantent l’histoire d’un
peuple ; ses espoirs, ses amours, ses soubresauts, ses
désillusions et ses utopies toujours fondatrices.
Convaincu que la musique est un rempart contre le
mal-être et la globalisation, Bélya invite à un voyage
aux sources plurielles de la tradition de Madinina.
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Pour konngo C est le titre de notre nouvelle composition qui rend hommage aux Congos déportés en Martinique après l'abolition de l esclavage.